Mais que ferait donc la «gauche divine» ?

Il y a cinquante ans exactement, Joan de Sagarra parlait narquoisement dans Tele/eXpres  de «Gauche divine» -en français- pour croquer une certaine bourgeoisie barcelonaise aux idées progressistes qui fréquentait la mythique discothèque Bocaccio de la rue Muntaner.
Dans son article quotidien, le site lexicographique Rodamots s'en fait écho.
Cinquante ans ont passé, une dictature s'en est allée (?). Que feraient les tenants de la Gauche divine aujourd'hui ? Pour l'un, Pere Portabella, on le sait, il est au cœur d'un bel entretien sur le retour de Josep Tarradellas. Pour les autres, qui sait ? Par contre, depuis, le français a perdu bien du terrain en Catalogne et ce ne sont pas les attitudes du gouvernement français et de la presse hexagonale qui risquent d'y changer grand chose.