«Ni un pas enrere»
«Ni un pas enrere». Pas un pas en arrière. Une amie italienne ponctue ainsi mon avant-dernière publication sur ce blog.
Par une action concertée, la presse espagnole titre sur de soi-disant retraits -ou mises-en -avant- de personnages importants de l'indépendantisme, se faisant écho des conversations d'une Moncloa en effervescence.
Le pragmatisme anime les représentants de la Generalitat en exil, en prison ou en -fragile- liberté. Dès lors que le choix d'une liste unique n'a pas été opéré, le cumul ne faisant pas partie des habitudes de la nouvelle République, il est normal que le président de l'ANC démissionne afin de devenir le numéro deux de la liste conduite par Carles Puigdemont. Il est tout aussi normal que Marta Rovira soit pressentie par Oriol Junqueras pour présider la Generalité, à la tête de laquelle Carles Puigdemont songe également à se représenter.
C'est normal. Dans une démocratie
Par une action concertée, la presse espagnole titre sur de soi-disant retraits -ou mises-en -avant- de personnages importants de l'indépendantisme, se faisant écho des conversations d'une Moncloa en effervescence.
Le pragmatisme anime les représentants de la Generalitat en exil, en prison ou en -fragile- liberté. Dès lors que le choix d'une liste unique n'a pas été opéré, le cumul ne faisant pas partie des habitudes de la nouvelle République, il est normal que le président de l'ANC démissionne afin de devenir le numéro deux de la liste conduite par Carles Puigdemont. Il est tout aussi normal que Marta Rovira soit pressentie par Oriol Junqueras pour présider la Generalité, à la tête de laquelle Carles Puigdemont songe également à se représenter.
C'est normal. Dans une démocratie